Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
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constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
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constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
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Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
"Journee d'action le dimanche 20 Novembre"
Expulsions, délations, violations des droits: le gouvernement français est responsable de la mort programmée des malades étrangers.
Des étrangers atteints de pathologies graves se trouvent sans droits en France et sont menacés par des mesures d’expulsion. Ces personnes étrangères résident en France et certaines y sont nées. Elles sont atteintes de pathologies lourdes nécessitant des traitements complexes (diabète difficile à stabiliser, sida déclaré, maladies cardiaques, cancers, etc.) et ne bénéficient d’aucune garantie de continuité des soins. Certaines d’entre elles sont éloignées du territoire français à destination, dans la plupart de cas, de pays du tiers-monde, ne disposant ni des infrastructures ni des ressources (médications, personnel médical, etc.) nécessaires à leur prise en charge médicale. Pour ces malades, l’expulsion signifie un arrêt complet de soins médicaux.
A ces situations s’ajoute la multiplication des cas de violations des droits en provenance de services publics ou d’établissements privés: refus de soins, violations du secret médical, diverses formes de rackets, etc. On constate également des comportements de délations émanant de ces mêmes services publics (lettres de délations, signalements aux services de police).
De tels comportements sont rendus possibles par la situation de non droit dans laquelle sont placés de nombreux malades étrangers. En ne répondant pas aux propositions formulées par l’ADMEF, le gouvernement est responsable du développement de ce type de comportement. Il est responsable également du rejet que subissent ces personnes, de la peur qui les éloigne des centres de soins, de dénuement qui les met en danger quotidiennement, des renvois forcés du territoire français qui équivalent à une véritable condamnation à mort.
L’Action pour les Droits des Malades Étrangers en France demande au gouvernement français que les malades étrangers, quelle que soit leur situation, soient inexpulsables et qu’un titre de séjour avec autorisation de travail et accès aux droits sociaux leur soit délivré.
Journée d’action le dimanche 20 Novembre.
Action pour les Droits des Malades Étrangers en France
constituée par Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, Association Française des Diabétiques, Aides, Aparts, Arcat-Sida, Association Nationale des Visiteurs de Prison, Association pour l'accueil des voyageurs, Centre Gai et Lesbian, Cimade, Comede, Comité National contre la Double Peine, Comité de Gennevilliers contre la Double Peine, Créteil Solidarité, Emmaüs Alternative, Espace Agora, Fédération des Malades et des Handicapés, FSU, Fasti, Gisti, Ligue des Droits de l'Homme, Maavar, Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Migrations Santé, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, Réseau Ville Hôpital Créteil, Réseau Ville Hôpital Paris-Nord, Sida Info Service, Sol En Si, Syndicat des Avocats de France et le Syndicat de la Magistrature.
ADMEF – c/o ARCAT : 13, boulevard de Rochechouart, 75009 Paris. Tél : (1) 49 70 85 99
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
Deportations, denunciations, and violations of rights: the French government is responsible for the programmed death of foreign patients. Foreigners affected by serious illnesses do not have rights in France and are threatened with expulsion. These foreigners live in France, and some are even born here. They suffer from serious illnesses that require complex treatments (difficulty in stabilizing diabetes, AIDS, heart conditions, cancers, etc.) and are not guaranteed continued care. Some are taken away from French territories and taken to, in most cases, third world countries, that have neither infrastructure nor resources (medications, medical personnel) necessary for medical treatment. For the sick, deportation signifies a complete stop to their medical care.
Multiple cases of human rights violations are added to these situations, originating from public services and private establishments: denial of care, violations of medical confidentiality, various forms of extortion, etc. We also note a behavior of denunciations emanating from these same public services (letters informing on others/denouncing others, reports to the police
Such behavior is made possible by the lawless situations the foreign patients are placed. By not responding to the propositions made by ADMEF, the government is responsible for the development of this type of behavior. It is also responsible for the rejection these people are subjected to, the fear that takes them away from care centers, the deprivation that puts them at risk every day, forced returns to their homeland from French territories which equates to an actual death sentence.
The Association for the Rights of Foreign Patients in France demands from the French government that the foreign patients, whatever their circumstances, cannot be expelled, and that they receive authorization of stay with permission to work, and access to social rights. Day of action is Sunday November 20th. Constituted by Accueil et Promotion, Act Up-Paris, ADIS 85, French Association of Diabetics, Aides, Aparts, Arcat-Sida, National Association of Visitors of Prison, Association for Reception of Travelers, Gay et Lesbian Center, Cimade, COMEDE, National Council against Dual Punishment, Creteil Solidarite;, Emmaus Alternative, Espace Agora, Federation of the Ill and Handicapped , FSU, Fasti, Gisti, Human Rights Association, Maavar, Doctors of the World, Doctors without Borders, Migrations and Health, MRAP, Reflex, Réseau REVIH, City-Hospital Network of Créteil, City-Hospital Network of Paris-Nord, AIDS Info Service, Sol En Si, Union of Lawyers of France and Union of the Judiciary.ADMEF c/o ARCAT : 13 Rochechouart, 75009 Paris. Tel : (+0) 514 970 8599 [Translated by Susan Jiang]
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